dans ce désordre crépusculaire et la chronique de la mal-vie,le temps passe.je le ressens dans mes os vieillissants et la mémoire amnésique que je survivrais dans cette maison lugubre de quelques mètres carrées,en me rappelant des couleurs de mon pays natal.
L.Ouali septembre 2018 "notes de bas de page"
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire