mardi 24 février 2015

le couple et la vache

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fermiers,Un homme et sa femme se battaient souvent,un jour excédés par les cris et les paroles vaines ,ils déciderent de mettre un terme à cela en mettant un compromis à savoir le premier qui parlerait irait apporter l'eau à la vache. Ils s'assirent et se turent toute la journée sans dire un mot, puis Un voleur fut irruption dans la maison,et aucun des deux ne bougea ni ne parla. Le voleur tout content,et étonné de la passivité des locataires,se précipita à avouer son forfait et qu'il était bel et bien un voleur et qu'il était là pour les combrioler mais rien ne fuse!l'homme et la femme se regardérent comme des chiens de vaillance et alors le voleur à pris tout son temps et saisit tous leurs biens et s'en alla. une fois le voleur loin de la maison La femme se tourna vers son mari et lui dit : pourquoi n'as-tu rien dit, nous n'avons plus rien maintenant! L'homme ravi lui répondit: tu as parlé, vas apporter l'eau à la vache!

lundi 23 février 2015

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rêves d'été

                                         
                                                             RÊVES D’ ÉTÉ

 - « Thirga unebdhou », rêves d’été ,est un moment particulier ,de la vie ordinaire et routinière des villages, et  hameaux perchés sur les cimes de la chaine montagneuse des Bâbors ,les grandes vacances étaient synonyme de joie et de gaieté.
Un moment  plein  d’intensité et riche en émotion, c’est les grandes retrouvailles, Où petits et grands, cousins et cousines, amis et proches, se retrouvent  durant  les trois mois de vacances d’été pour  se ressourcer entre fêtes ,mariages rencontres et les longues  veillées jusqu’au petit matin.



vendredi 20 février 2015

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jeudi 19 février 2015

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tirgha unebdou "rêves d'été "

bientôt du nouveau sur le blog un article sensationnel sur les vacances d'été au bled,les belles histoires contées ,sous le toit d'asquif ledjmaa,les retrouvailles entres cousins et cousines,amis et proches  et les soirées interminables des fêtes et mariages c'est  "thirga unebdhou"-rêves d'été - 

mardi 17 février 2015

DDA LAHCEN UABBAS

                             La Fierté cachée de mon village

mort, dans l’anonymat le plus total, cet homme discret, doué d’une grande intelligence, brave, un perfectionniste de la ruse, un parfait francophone, cet oublié de l’histoire, sa maison servait de base arrière, un lieu de rencontre, et un quartier général des moudjahidines durant la guerre d’Algérie.

Aux yeux de tout le monde, il était un commis de l’État français, car, en ce temps-là, il occupait le poste de vis président de l’hôtel de ville de Guenzet, rien ne lui échappait, il était au courant de tout, jusqu’aux moindres détails ; il était l’intermédiaire souhaité des Français, car, sa première femme était Française, les villageois aussi trouvaient leur compte, en l’approchant à chaque fois qu’ils le désiraient, pour régler leurs problèmes quotidiens. Il était le frère, le père, l’ami, le confident, de chacun.
On l’aimait bien ce petit bonhomme, de petite taille ; avec sa moustache, et ses cheveux coupés à raz. 
Il était aussi et surtout, un véritable soutien, et un puits inépuisable de renseignements, il était l’éclaireur, et le passe-partout des moudjahidines, il arrive qu’il accrochât un foulard vert sur le minaret de la mosquée, pour leur signaler que la voie était libre et qu’ils peuvent rentrer au village sans danger. Et lorsqu’il mettait un autre de couleur rouge, il leur signifie qu’il y avait anguille sous Roche. Ou de prendre la place du Muezzin et faire l’appel à la prière à des moments inopportuns. Il est arrivé même à cacher côte à côte, dans une chambre des moudjahidines et dans l’autre occupée par des soldats français sans que ces derniers s’en rendent compte de la supercherie.

Notre mère (Aldjia Bahmed), une femme d’un caractère solide, et d’un courage exemplaire, fille de Lakhder Bahmed et Issaoune Menana, épouse du chaud Mouloud Ouali, âgée alors de 35 ans, nous racontait les péripéties de cet homme hors du commun : un jour dit-elle, je fus invitée à me rendre chez lui, une maison à quelques mètres de la notre, située juste derrière la grande mosquée laaraf.
Une fois arrivée, je me suis retrouvée dans une chambre, en face d’une dizaine d’hommes, assis à même le sol, tous armés et en tenues militaires, après salutations, l’un d’eux, leur chef, me semble-t-il, s’adressa à moi en me demandant à m’identifier, une fois fait, il se présenta, comme étant un officier de l’ALN, chargé du contrôle de la distribution des cotisations destinées aux orphelins, prisonniers et veufs de chahid, et me questionna sur la date des dernières mensualités reçues, à la question, je répondis instantanément, et sans hésitation que je n’ai reçu aucune mensualité depuis des mois, voire 2 à 3 ans, l’homme l’air intrigué, me reposa la question une seconde fois en ajoutant :
— « Vous êtes certaine, Madame ? »
Ma réponse fut sèche et sans ambiguïté :
— « Rien Monsieur, absolument rien ».
Le chef se tourna vers ses collègues, discutèrent un bon moment entre eux, puis le chef, s’adressant de nouveau.
— << d’habitude de qui recevez-vous cet argent « dit-il ?
— « De mon oncle » dis-je. 
Ce dernier fut emmené illico presto, et confirma mes dires, lui non plus n’a pas reçu d’argent du chargé de la distribution depuis des mois.

Pendant un bon moment, un silence lourd régnait dans la pièce, et l’on sentait que les choses allaient prendre une grave tournure.
— « Rentrez chez vous » dit le chef, vous allez bientôt recevoir votre dû, et on tirera les choses au clair.

Une enquête fut diligentée, et quelques jours après, a abouti à la découverte du pot aux roses, le chargé de la distribution, un untel d’une grande famille de la commune (sans le nommer), détournait à son profit l’argent de la collecte, un argent normalement destiné aux nécessiteux et aux pauvres du village.

On convoqua le coupable, et on lui intima l’ordre de rendre la totalité de la somme, et ,il a dû vendre terres et bien de toute sa famille pour la rassembler, et tous récupérèrent leur argent aux derniers centimes près. 
Le grand, petit bonhomme, l’oublié de l’histoire, était derrière la destitution et le bannissement à jamais hors du village du préposé à la collecte du moins pour un temps.

Ce brave homme, sauvera également d’une mort certaine plusieurs moudjahidines, il secourut d’autres, défendait les intérêts des villageois auprès de l’administration coloniale, et ne ménageait aucun effort pour venir en aide aux démunis.

DDA lahcen Uabbas, de son vrai nom, Abbés Seddik né le 23 décembre 1917 à ikhligene, c’est de lui qu’il s’agit, mourut, comme le commun des mortels, sans jamais être reconnu comme un militant de la cause nationale par les autorités de sa commune, il fut enterré le 26 juin 1986 parmi les siens dans l’anonymat le plus total.



mardi 10 février 2015

les derniers des Mohicans

                                                  les batisseurs du village

Arezki Uhafi, de son vrai nom, Hafri Arezki était le précurseur des maçons à Guenzet, issu d’une famille de bâtisseurs, de père en fils, il a appris le métier dans le tas, tout est dans la tête, pas besoin de dessin, ni de croquis, il est l’architecte, le maçon et l’entrepreneur, en même temps, c’est lui qui a initié également d’autres hommes à ce métier et à venir renforcer l’équipe composée, de son fils layachi et son cousin germain,  , et d’autres, Seddik Uabbas (Abbes Seddik), Taieb El Ghidouche (Abderrahmane Taieb), Rabah nith Bahmed, Berkouk Berkouk et Amar ubouchmoukh (Bouchemla Amar). Un peu plus tard, d’autres sont venus, prendre le relai, comme DDA Bouhou uhafi, DDa Ouaki Lahmidi…

Ils sillonnaient les villages et les hameaux, avoisinants : Tadarth, Bouzoulith, Aghelad n’Salah (le tas de pierres qui borne la propriété de Salah), Ighoudane, Taourirt Tamellat (la petite colline blanche de schistes), Ighil Lekhmis (la crête du marché du jeudi), Tizi Medjber (le col de Medjber), Taourirt Yaqoub (la petite colline de Yaqoub), jusqu’à Tighremt (Dar El-Hadj), à bâtir maisons et fontaines, à restaurer sols et toitures, il n’y a pas un endroit où ils n’ont pas laissé leurs empreintes, ils sont les maîtres d’ouvrages de presque la moitié des maisons du village. Du matériel, et outil de travail, pas grand-chose, ils leur suffisaient juste d’une truelle, une taloche et d’un fil à plomb et le tour est joué. 
Ils avaient du génie, et du savoir-faire, à force d’exercer et d’apprendre, le résultat est dans l’effort, la méthode appliquée et le fruit d’un compromis de toute l’équipe, car ce n’est pas par hasard que le style et le patrimoine architectural transmit d’une génération à l’autre fut préservé.

La réalisation d’une maison ou d’une autre structure, œuvre de toute une vie, est abordée avec rigueur et efficacité, le maître d’œuvre ; Arezki et ses maçons, tiennent compte des désirs et des besoins du propriétaire et dans le respect des délais et du budget, et souvent font crédit, pour des mois voir des années à ceux qui ne peuvent s’acquitter de leur dû, car pour beaucoup de gens du village, rassembler, une aussi grande somme pour la construction d’une maison est extrêmement difficile, voir inimaginable, vu, leur maigre profit tiré du travail de la terre, et l’absence d’autres ressources financières. Parfois les villageois utilisent un autre moyen de payement : le troc, en cédant l’équivalent d’une parcelle de champs, par ci, d’une bête de somme par là, qui est revendue par la suite pour payer les ouvriers. 
Pour les plus chanceux, c’était une période plus ou moins faste, en empruntant la maxime « quand le bâtiment va tout va, » ils ont créé de l’emploi dans le village, des ateliers de menuiserie, pour la fabrication des portes et fenêtres, des exploitations de carrières d’argile qui fournissent la matière première des tuiles : » Takhwat » à Tassift nith Halla, et à Ouaouchia appartenant à la famille Ubenathmane, des magasins de matériaux de construction ont vu le jour, des bûcherons, pour couper et transporter à dos de mulet, le bois depuis les maquis et forêts de la région, des forgerons pour la serrurerie, et autres besoins de la ferronnerie : fer à cheval, hoquets…..

Actuellement dans le village, plusieurs bâtisses et fontaines encore debout sont l’œuvre de cette équipe, ainsi la légendaire source d’eau, qui porte le nom du bouc du père fondateur Djeddi yaala, « thala Abad » la plus ancienne des fontaines, fut construite par Arezki et ses ouvriers, « thala N’Guenzet », à Ighzer n’thala (le ravin de la fontaine) à l’entrée Est du village, il en est de même de la mosquée laaraf, située à Taneqoucht (le petit terrain cultivable à la pioche), de la mosquée d’Ait Ahmed ou Youcef (Ith Ahmed ou Youcef) à « Lahdada » appelée autrefois Amdoun ihaddaden (le bassin des forgerons) et de plusieurs maisons appartenant à des particuliers.


À travers cet article, nous rendons hommage à ces bâtisseurs d’un genre particulier, pour le travail accompli, dans le respect des traditions ancestrales, un exemple à méditer de bravoure, et du génie humain.

lundi 9 février 2015

les enfants d'ighdem

                        LES ENFANTS D’IGHDEM

 Le village, était en fête, en ce mois de novembre de l’année 1961, une journée ensoleillée et légèrement brumeuse, ou l’armée française stationnée dans son poste fixe, à Ith Yaala, commune de Guenzet, actuelle école « Medouni Mohamed Cherif », donne autorisation à la population de se rendre aux champs, un jour de permission, un moment qui permet aux habitants de se rendre librement à leurs vergers, situés à quelques encablures du village, une occasion aussi pour les villageois de s’approvisionner en quelques maigres légumes et fruits, produits de leur labeur.

La joie était à son comble, et elle, se lisait sur les visages des enfants qui s’apprêtaient à accompagner les parents.
La grande route, s’animait au fur et à mesure, bêtes, hommes, femmes, et enfants dans un brouhaha indescriptible empruntèrent l’unique chemin qui mène vers « iharkan », le temps de l’évasion.

Ce jour-là, les enfants, les frères Bahmed, zoubir et Zine. Mustapha, Nacer, leurs cousins paternels Idris, Hamid, Kholfa, Meziane, les cousines Leila, Houria, Naima et leur cousin maternel Ouali Boubekeur, des enfants de l’innocence, à peine adolescents, allaient vivre le plus terrible cauchemar de leur vie ; et qui restera à jamais gravé dans leur mémoire et de la mémoire collective.

Tout au long du parcours, les enfants s’amusaient à courir, à sauter et à se jeter des pierres, lorsque zoubir, tenant dans sa main un objet métallique, sans se douter un seul instant qu’il tenait un engin de la mort, une bombe destinée aux pères et qui n’épargne pas les fils, le jeta instinctivement vers ses cousins, s’écrasa sur un rocher, et éclata dans un tourbillon de poussière, qui, une fois, dispersée, laisse découvrir une scène horrible et macabre : les corps baignants dans une mare de sang, déchiquetés par les éclats de la grenade, et des morceaux de chairs mêlés à la terre.
Zoubir, fut touché à l’abdomen, éventré, et inconscient, Boubekeur, à demi évanoui, dont le genou droit et la cheville gauche pendaient en lambeau, Nacer blessé au dos, Kholfa au menton, le reste du groupe miraculeusement sauvé.
Les gens accourent, et, de l’endroit de la détonation, s’élèvent, alors, des cris de détresse et de lamentations et une voix puérile, une voix de l’innocence déchirait le silence, et Hamid criait :
  — « Oh, mon Dieu, on est fini ! »
 Ce jour-là, la nuit est tombée, plutôt, que d’habitude dit-on.

 Les blessés, furent acheminés à l’infirmerie de la « SAS » après d’énormes efforts, puis vu leur état grave, évacués par hélicoptère vers l’hôpital de Sétif situé à 80 kilomètres de Guenzet. Ils restèrent quelques jours en observation, tandis que, Zoubir et Boubekeur beaucoup plus, car leur état était jugé préoccupant.

Depuis, Zoubir (1 950), a passé sa jeunesse en France avec ses parents, regagne Alger par la suite et fait carrière dans une institution de l’État, Boubekeur (1 952) artiste peintre à fait les beaux-arts d’Alger, se spécialise en céramique, en Espagne et possède un atelier de poterie, Nacer (1 955) fonctionnaire, et Idris (1 952) enseignant du primaire, tous deux retraités et demeurent à Guenzet, Zine (1 955) a suivi des études en Union soviétique et obtint le diplôme d’ingénieur en travaux publics.
Meziane (1955-1999) a fait carrière dans la santé, infirmier de son état et mourut dans un accident de circulation en décembre 1999, Kholfa (1 952) a fait des études secondaires et fini par exercer plusieurs métiers dans diverses entreprises, les filles se sont mariées depuis, Hamid, chauffeur de taxi à Alger puis s’installe en France, avec toute sa petite famille, quant à Mustapha (1 950/2 013), chauffeur dans une entreprise étatique depuis toujours, jusqu’à son décès en 2 013.




mardi 3 février 2015

L’histoire fantastique du Bar comptoir du « café des amis »

          L’histoire fantastique du Bar comptoir
                   Du « café des amis »

C’est au mois de juin, au « café des amis » de Mustapha NIth Ammar, où je sirotais un café presse, en compagnie de quelques amis, mon regard se posa sur le comptoir, sur lequel j’étais accoudé, un véritable chef-d’œuvre s’offre à mes yeux, un Comptoir Bar, sculpté d’une main de maître, de fabrication artisanale, en chêne massif, agréable au toucher, recouvert d’étain, surmonté d’un meuble sur la façade arrière comme accessoire. 
Mustapha, qui remarqua mon admiration devant une telle merveille, s’approcha doucement et m’apostropha :
— « Alors, il te plaît le comptoir ? » dit-il d’un ton souriant.
— « Un bijou ! » répondis-je » avec enthousiasme.

Mustapha s’approcha de moi davantage, si comme s’il allait me faire une confidence, il enchaîne :
— ce bar comptoir dit-il, à une histoire, il est encore debout, après 50 ans de service !. Il appartenait à l’époque, à un français propriétaire d’un bar à « Zaati », à l’entrée Est de Guenzet, sur la route de Bordj-Zemmoura, à quelques mètres de l’actuelle mosquée El Atiq, à son départ en 1959, il fut racheté par mon père l’Mouloudh NIth Ammar alors garde champêtre, lors de l’ouverture de notre café en ce même endroit et depuis toujours à Lotta n’souk, pour une modique somme de 200 francs.

Le Français, propriétaire du bar, a eu une nébuleuse idée d’apprivoiser une compagnie de perdrix, avec laquelle il décorait sa devanture, il les nourrissait de graines de semences, toujours à heures fixes, et les entretenait avec attention et amour, attirant ainsi beaucoup de curieux, et les clients ne manquaient pas. 
La cage, posée sur le comptoir, contenant des perdrix gambra, appelées aussi perdrix rouges de barbarie, leur plumage arbore de jolies couleurs rougeâtres avec des dominantes noires et blanches sur le ventre, qui lui assure un excellent camouflage au cœur de la végétation basse.

Un jour il décida, de les relâcher, devant un parterre de clients mécontents, car ils n’entendront plus leur gloussement, les perdrix plus que jamais libres, prennent leur vol à coups d’ailes rapides et bruyantes vers le maquis avoisinant.

À la surprise générale, le soir ; juste au coucher du soleil, à l’heure fixe de l’habituel repas, la volée de perdrix fut son entrée, se posa sur le comptoir et pénètre à l’intérieur de la cage pour se nourrir, et sans tarder somnole puis tombe dans un sommeil profond jusqu’au matin.

Chaque jour, au petit matin, avant l’aube, elles quittent leur « mangeoire », passent la journée à un point d’eau, et se reposent dans un endroit abrité durant les heures les plus chaudes, et le soir venu reprennent à l’heure tapante, et de façon presque magique, leur envol vers le « dortoir » : le Bar.

Tout le monde était intrigué par ce comportement inhabituel de ces gallinacés pourtant de nature sauvage, et après moult recherches, il s’est avéré que le Français, le propriétaire du bar, introduisait dans les graines de semences des opiacés qui au fil du temps les rendaient dépendantes. 
Accoutumées. Les perdrix reviennent chaque soir, à la même heure et au même endroit à la recherche de la graine « miracle », jusqu’au jour, de retour vers le bar, qu’elles trouvèrent fermé à jamais, elles regagnèrent ainsi et pour toujours, la vie sauvage, dans les maquis d’Ith Yaala et d’ailleurs.



nb/l'autre moitié du bar-comptoir est visible au café des Aissa (Tahar Uslimane) chez

La parabole du vert et du bleu, « ccah yahwa-yagh »

NB : Ce texte, par son contenu, va peut-être fâcher certains d’entre vous, qu’ils trouvent ici toute ma sympathie et ma b...